Un Canary vous parle


Petite réflexion à propos des événements  qui se sont produit dernièrement depuis les attentats de Vendredi 13 Novembre 2015.

Ce texte je pourrais le modifier un million de fois car ma pensé va et vient, change tout les jours, mais pour le moment elle en est arrivée là, si cela vous intéresse libre à vous de le lire, et de le commenter, je serais heureuse d’en discuter simplement (ici ou ailleurs).

(et excusez les fautes d’orthographes, j’ai tenté d’en enlever un maximum, mais me connaissant, il doit encore en avoir une belle trempée).

Il y a des choses, qui aujourd’hui comme depuis longtemps, nous dépassent complètement. Des choses que l’on aura beau essayer d’expliquer, nous n’y arriverons pas. Pas que nous n’ayons pas d’idées, mais simplement que aucun mot peut expliquer une pensée dans son sens réelles. Mais aussi car ces pensées, ne sont souvent pas entièrement comprises par ceux qui la pense eux même. Mais nous oublions qu’avant la pensée, il y a une société. La notre. Forgée sur différents piliers. Des piliers don nous n’avons pas vérifié l’état depuis que nous les avons construit. Mais aujourd’hui que l’on sent trembler le plancher de notre société, nous commençons tout juste à nous demander pourquoi ? Et face à ça il y a plusieurs réponses. Économique, sociale, politique, écologique, religieuse, mais aussi sentimentale, éducative, morale, physique. Toutes vont de paires, sont liées, l’une ne va pas sans l’autre, mais aucune ne va sans l’Homme … L’Homme atteint petit à petit non plus ces limites, mais celle du monde qui l’accueille. Il est contre cette planète qui nous a vu germer, pousser, grandir, s’aimer, se tuer, se haïr, souffrir, et de sa porter il a essayé de nous aider, mais nous avons simplement refusé cette aide, ces encouragements à aller vers quelque chose de meilleur, nous l’avons tué, exploité, détruit, brûlé, nous lui faisons subir encore aujourd’hui tous ce que nous nous faisons subir à nous même, à notre communauté humaine.
Et aujourd’hui nous n’acceptons pas qu’une part de notre société soit touchée, en rejetant une partie parce qu’elle a commis des atrocités. Nous n’acceptons pas qu’un pays représentant « la paix, l’égalité et la fraternité » soit touché. Et pourtant nous acceptons que ce pays exploite et décime des parts de notre planète et par conséquent humanité. Peut-être pas directement, mais investissant, gaspillant, produisant, consommant, brûlant, payant … que cela soit proche de nous, ou bien plus loin. Mais tout cela nous l’acceptons, parce que nous ne le voyons pas, on nous en parle, mais nous ne le voyons pas. Mais maintenant que l’on tire sur nos concitoyens, nous réagissons, parce que nous l’avons vu, ça aurait pu être nous, nos amis, notre famille, ça l’a peut -être été. Mais posons nous cette question : Que pense ceux qui le vive aux quotidien ? Et une autre est alors levée : qu’en est-il de ce qui sont acteurs de ces massacres, ceux qui sont capable de prendre une vie, pour un ordre, autant que pour une pensée ? Ils sont désespérés, ils crient aux secours pour quelque chose que nous ne comprenons pas, peut-être eux même ne la comprenne pas. On peut les qualifier de « faibles » de « couards », et pourtant ils ont tué, ils ont défendu leurs idées, ne faut t-il pas être forts et courageux pour le faire ? Pourrions nous alors penser, que ce n’est pas leurs fautes, mais la notre ? Celle de leur avoir dit de façon direct ou non, qu’ils n’étaient pas suffisamment fort pour vivre dans notre monde, comme nous l’entendons ? Et qu’à cela ils ont répondu : « Je suis fort et je vais vous le prouver », malheureusement en faisant, pour certains, les mauvais choix.
En chaque homme il y a un espoir, bon ou mauvais, il nous aide à aller vers quelque chose que nous jugeons bon. Et cet espoir, ce retranscrit en pensées, en idées. Et parfois, ou même souvent, nous n’avons tout simplement pas compris ce qu’était cet espoir, car un espoir ne peut pas être décrit simplement. Et à l’échelle de notre société, nous ne pouvons plus espérer pouvoir réaliser en totalité nos espoirs, nos idéaux, se ne sont plus que des utopies, simplement parce que nous avons dépassé l’échelle humaine, ce don nous avons la capacité de réaliser et gérer. Nous avons créé une nouvelle dimension, que nous n’arrivons pas à maîtriser.
Et vous le savez, depuis toujours les Hommes se battent les uns contre les autres, mais ils ne savent simplement pas pourquoi. Ils ont en eux la conscience, la réflexion, et ils n’ont toujours pas compris le sens du vivant humain. Alors il se bât, contre lui même, afin de se sortir de cette ignorance, mais en sombre peu à peu dans la folie, car il ‘a toujours pas trouvé de réponse, et n’accepte pas de ne pas en avoir.

 


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